Depuis la rotonde et sa sublime rosace en bois d’origine, son grand lustre aux lames de verre et son miroir convexe, s’ouvrent ce qui fut le boudoir, la chambre de Madame, la salle à manger de l’hôtel particulier et son jardin d’hiver.

Reprenant les plans de 1901 nous avons imaginé le restaurant comme une pièce de théâtre, chaque pièce s’ouvrant comme un nouvel acte, suivant toute la même histoire, les grandes arches de laiton et le travail des miroirs symbolisant entractes et transitions.

Crédits photos : Yann Deret

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